Ça sent la coupe

« Je la vois, je la vois déjà, cette étoile dans la nuit. Je l'entends, je l'entends déjà, cette voix qui me poursuit. Elle me dit: "Viens cueillir le bol; Je suis trophée, parade et fierté. Viens!" Oui, mais comment, comment vous le dire? Nous, de les partisans, on ne sait pas, car maison, travail savent nous retenir. Alors comment vous encourager?

Je la vois, je la vois déjà, cette étoile dans la nuit. Je l'entends, je l'entends déjà, cette voix qui me poursuit. Elle me dit: "Viens lever la coupe. Je suis poème, source et chanson. Viens!" Oui, mais comment, comment vous le dire? Nous, les partisans, on ne sait pas, car finance et guerre savent nous retenir. Alors, comment, comment vous suivre?

Mais ta flanelle, ta flanelle, ta flanelle peut bien crouler, mon amour. Ne me laisse pas la main; Depuis l'temps qu'on se cherchait. Depuis l'temps qu'on s'attendait »