Bowie

Que j’aime David Bowie. Du plus loin que je me souvienne, j’ai toujours apprécié sa musique. Au secondaire, je me rappelle d’écouter en boucle Space Oddity et de visionner régulièrement le clip Let’s Dance (sur ma cassette de la Grande nuit vidéo). Pendant mon Bacc, je me souviens de faire la vaisselle avec ma coloc Martine en écoutant toujours les plus grands succès de Ziggy.

Un peu plus tard, pendant ma première maîtrise je crois (avouer que ça se glisse bien dans une conversation…) j’ai fait la découverte d’un nouveau Bowie en écoutant l’album Black Tie White Noise. Que j’ai aimé cet album! J’y reviens encore régulièrement. C’est comme si Bowie avait vieilli avec moi. (ou moi avec lui)

Je vous propose donc ma préférée de Bowie, Heroes. 

Keytar Hero

Un de mes instruments préférés est certainement la guitare. Bien que je n’aie jamais réussi à maîtriser ce bout de bois à corde, j’y suis revenu souvent pour tenter de le dompter. Malheureusement sans succès. J’ai aussi une affection particulière pour le piano. Encore des cordes, mais avec percussions. Intéressant. Je pense que j’ai un faible pour ces deux instruments parce que mon éveil musical c’est fait dans les années 80, l’âge d’or du keytar.

Le keytar est un mélange kétaine d’un keyboard (clavier) et d’une guitare. C’est donc un instrument musical bâtard. Qui dit keytar, dit « Keytar hero ». Je vous propose donc en ce beau vendredi, un clip culte des années 80 mettant en vedette cet instrument atypique. Si vous pensez que le keytar est bizarre, attendez de voir les personnages du clip…

Bonne fête Marine !!!

Ma plus jeune a 12 ans aujourd’hui. Bonne fête ma belle Marine !!! S’il est facile d’associer la chanson « Le petit bonheur » de Félix Leclerc à ma grande qui se nom elle-même Félixe, je comprends que je devrai m’expliquer si je vous dis que c’est la chanson « Maudit bonheur » de Michel Rivard qui me fait penser à ma plus jeune.

Ce qu’il faut savoir, c’est que Marine arrive dans ma vie après une mauvaise expérience d’adoption. Je vous épargne les détails. Notre famille vivions donc des moments de tristesse quand finalement nous avons eu la très grande joie d’apprendre qu’une autre petite frimousse serait des nôtres dans neuf mois. Sa naissance fut donc le retour des réjouissances. « Maudit bonheur, où c’est qu’t’étais? » Question facile, il était avec Marine tout ce temps.

Félixe m’a procuré la grande joie de devenir un papa, et Marine s’est assurée de faire de moi un papa heureux pour toujours. Je t’aime ma puce.

C'est l'Halloween

Je n’aime pas vraiment me déguiser et encore moins me maquiller. Je ne me présente pas devant les gens sans être habillé normalement et je ne suis pas du genre à porter des masques. Cependant, une fois par année, le 31 octobre, avec mes puces, j’accepte de me transformer l’espace d’une soirée. J’ai donc été tour à tour, Arsène Lupin, un cowboy, un indien, une vieille mémé, un médecin, Darth Maul, Harry Potter, un joueur de hockey et j’en passe.

Je fais tout ceci parce que je m’occupe de la distribution des bonbons et le déguisement est obligatoire. Je suis tellement bien récompensé quand les filles rentrent de leur tournée. J’ai le droit de recevoir la totalité des caramels qui se sont glissés dans leurs citrouilles. Une paye adéquate pour l’ensemble des efforts fournis.

La musique qui fait peur

Quand on se met à réfléchir sur la musique d’Halloween, comment fait-on pour se sortir de l’inévitable Thriller de Michael Jackson? Y’a pourtant d’autres chansons qui évoque cette fête des monstres. Les musiques de films d’horreur sont de beaux exemples. Mais si on s’attarde seulement aux chansons qui traitent de la peur, la mort et des monstres, la liste devient un peu plus mince.

Pourtant, la musique rock me faisait peur quand j’étais beaucoup plus jeune. Des groupes comme Black Sabbath, Iron Maiden  et même Kiss me foutaient la trouille. Et que dire des personnages comme Ozzy Osbourn et Alice Cooper; de vrais personnages démoniaques. Aujourd’hui, ce n’est pas les déguisements et maquillages qui m’impressionnent, mais bien la charge dramatique de la mélodie. Ainsi, Toccata et Fugue en D Mineur de Jean Sébastien Bach constitue certainement la pièce la plus lugubre et macabre qu’il m’adonne d’écouter.

On passe au salon

Demain, c’est l’ouverture de la session parlementaire pour ce gouvernement péquiste minoritaire. Je me permets ici de faire mon beau-père et de dire ceci : J’espère que mes amis péquistes réalisent à quel point ils sont minoritaires. Si non, les pupitres du Salon bleu sauront rapidement leur rappeler.

Pour me préparer, avant le début de la session, j’aurais passé les dernières semaines à jouer aux échecs. Oui, oui aux échecs. Malheureusement trop de personnes font des analogies relatives au hockey pour parler de politique. On ne joue pas au hockey à l’Assemblée, on joue aux échecs. Et quand aujourd’hui je vous parle d’échecs je parle d’un jeu totalement différent; un jeu d’échec à trois.

À trois, toute la stratégie se complexifie? Comment prévoir le coup défensif ou offensif de l’opposant relativement à mon positionnement mais aussi au positionnement du troisième? Je vous le dis, j’aurais joué pendant des heures avant d’arriver dans ce Salon… Je n’en dirai pas plus, car j’ai décidé de demeurer dans le mien…

J’aime ta grand-mère

Un ver d’oreille c’est ça « J'aime, j'aime ta grand-mère/Je veux faire à ton père/Plein de demi-frères. » Ça entre dans la tête, ça s’incruste et ça roule en boucle. Vous aurez compris qu’une phrase comme celle-là peut seulement nous venir des Trois Accords. On la retrouve dans la pièce-titre de leur nouvel album; J’aime ta grand-mère.

Encore une fois, nos moineaux de Drummondville nous proposent une mélodie digne des musiques alternatives les plus achevées. On quitte donc les rythmes punk-rock pour se diriger vers des tonalités plus progressives. Cependant, au-delà d’une musique fort bien écrite, se trouvent des paroles complètement absurdes, mais combien accrocheuses!