Vous souvenez vous de vos amours d’adolescence. Dans mon
cas, c’était beaucoup plus dans mes rêves que dans ma réalité. Cette situation
ne m’empêchait pas de vivre de très beaux et grands sentiments envers celle que
j’observais en cachette tous les jours à l’école. Le soir pour accompagner mes
rêves, j’écoutais des chansons d’amour. Je me disais alors « si je savais parler
aux femmes ». D’ailleurs, encore aujourd’hui, « parle-moi pas des femmes…
parle-moi pas d’amour… j’te jure que j’saurais pas quoi t’dire… »
Passionné d'actualité, des gens et de musique. Mais aussi de théâtre, de Chardonnay, des 49ers...
samedi 26 janvier 2013
Amours d’adolescence
vendredi 25 janvier 2013
Les petites jasettes
Ce qui est bien du vendredi soir, ce sont les petites
jasettes du type « comment a été ta semaine ? ». On se raconte alors
nos petites anecdotes qui décrochent des rires et des sourires. On fait
découvrir aux autres nos trouvailles loufoques sur le web. Encore une fois,
Facebook et YouTube sont des sources infinies d’images cocasses. Et on s’amuse
à écouter toutes les musiques qui nous ont accompagnées pendant la semaine.
jeudi 24 janvier 2013
Le Scrabble
J’adore le Scrabble !
De tous les jeux de table qui existe, le Scrabble est de loin mon
préféré. Premièrement, j’adore les mots croisés (je suis cruciverbiste) et
deuxièmement, j’aime bien l’ambiance relaxante qui vient avec ce jeu mature et
intelligent. Non seulement je possède l’édition de snob avec la planchette
pivotante, mais je suis aussi membre du club de Scrabble en ligne.
Pour ce qui est de la partie en tant que telle,
j’ai eu l’occasion de jouer avec des personnes qui sont des spécialistes et/ou
amoureuses de la langue française. Je n’ai donc pas autant de victoires que je
voudrais. D’ailleurs, si j’ai réussi à
tirer mon épingle du jeu, c’est en raison de ma bosse des maths. En effet, j’ai
compris très tôt que le but du Scrabble n’est pas de faire des mots, mais bien
de faire des points. Mes mots sont peut-être moins élégants que ceux de mes
adversaires, mais ils sont plus payants !
mercredi 23 janvier 2013
Une chanson pour la paix au Mali
J’ai vu passer sur mon fil de nouvelle Facebook toutes
sortes de textes, de photos et de propos sur ce qui se passe au Mali depuis le
début de l’année. Tout ceci est d’une telle tristesse. C’est comme si toutes
bonnes nouvelles étaient tout simplement impossibles lorsqu’il s’agit du
continent africain. Je ne prétends pas comprendre exactement le conflit actuel,
car je suis conscient que je ne dispose que de trop peu d’informations pour
avoir une opinion claire sur cette situation. Je suis tout de même préoccupé.
Je vous propose ce matin une fleur de macadam; un pont au-dessus des eaux troubles; une déclaration d’amour au cœur du désespoir. Sorti le 17 janvier, en réponse à la situation au Mali, il s’agit du clip “Mali-Ko”. C’est une initiative de Fatoumata Diawara, une artiste d’origine malienne, qui a décidé de réunir une quarantaine d’artistes, représentant tant le sud que le nord du Mali, pour faire un appel à la paix.
Je vous propose ce matin une fleur de macadam; un pont au-dessus des eaux troubles; une déclaration d’amour au cœur du désespoir. Sorti le 17 janvier, en réponse à la situation au Mali, il s’agit du clip “Mali-Ko”. C’est une initiative de Fatoumata Diawara, une artiste d’origine malienne, qui a décidé de réunir une quarantaine d’artistes, représentant tant le sud que le nord du Mali, pour faire un appel à la paix.
mardi 22 janvier 2013
Montréal -40c
Y’a des limites à ce que le corps peut endurer, mon char
aussi. C’est pas un café chaud que je devrais prendre avant de partir
travailler, c’est de l’antigel! Les narines qui collent ensemble, la neige qui
craque sous mes bottes et mes muscles qui se contractent tout seul. Le prochain
qui me dit « Beau matin pas de mouche » je lui lance un regard qui de
toute façon sera glacial…
lundi 21 janvier 2013
Un drapeau au cœur de ma vie
Quand mes filles étaient petites et qu’elles ne m’offraient
pas quelque chose aux couleurs du CH, elles m’offraient toujours un beau dessin
avec un drapeau du Québec dessus. J’ai aussi reçu une cravate avec un fleur de
lys, un verre à bière avec un fleur de lys et finalement un chapeau de cowboy
avec un fleur de lys qui s’illumine… (ne riez pas je l’avais sur la tête lors
de la dernière fête nationale)
Personnellement, j’ai placé un drapeau du Québec
dans la petite fenêtre qui se trouve au-dessus de ma porte de maison. Les gens
reconnaissent mon appart ainsi. J'ai une grenouille qui tient fièrement un fleurdelisé dans mon salon. Elle était à mon bureau auparavant. Elle ne passait jamais inaperçue. Mais par-dessus tout,
j’en ai un dans le cœur. Personne ne le voit vraiment, mais tous les gens qui
m’entourent savent qu’il est bel et bien là.
dimanche 20 janvier 2013
Le transporteur
Maurice Duplessis, voulant faire flotter le nouveau drapeau
du Québec le même jour de son adoption à l’Assemblée nationale, avait fait
préparer, en catimini, des plans de ce qui allait devenir notre drapeau
national. Une première version avait été réalisée à la main par un tisserand. Allez savoir pourquoi, mais cette matrice c’est retrouvé
entre les mains de la famille de l’ancien gouverneur général, Paul Comtois.
Nous sommes en 1998 et mon beau-père de l’époque, député
d’Orford, avait convaincu le fils de l’ancien gouverneur général de prêter temporairement
son précieux trésor pour une
exposition à l’Assemblée nationale (expo pour le
50e du drapeau de Québec). Ne pouvant se déplacer à temps pour
l’exposition, mon beau-père me transmis le précieux bout de tissus pour que je l’apporte
à Québec. Rien n’était plus facile pour
moi, car je travaillais dans notre capitale nationale comme attaché politique.
Inscription à :
Articles (Atom)