samedi 24 novembre 2012

Accueillant, le Témiscamingue.


Je me promène au Témiscamingue entre Ville-Marie et Béarn quand tout à coup je croise un rang qui porte un drôle de nom. Loin de ma copine depuis quelques jours, je me dis que j’ai dû interpréter faussement le nom du rang en question. Mais comme j’ai un peu de temps de devant moi avant ma prochaine rencontre, je décide de rebrousser chemin pour voir si j’ai en effet lu la bonne chose.
Mon doux Jésus plein de miséricorde!!! J’ai trop bien lu le nom du rang en question! Je suis bel et bien en face du Chemin Pénétration. PÉNÉTRATION !!!  Imaginez les gens qui y habitent. « Puis-je avoir votre nom et votre adresse monsieur? » Et le monsieur de répondre « Je me nomme  Fabien Lamour et j’habite sur Chemin Pénétration ».  C’est certain que ce dernier se fait raccrocher la ligne au nez. 




vendredi 23 novembre 2012

Petite découverte, grand bonheur.


Pourquoi pas un petit vendredi relax. Pour les fans de musique folk américaine, mais surtout de chansons simplistes avec des voix tout aussi mélodieuses que planantes, je vous propose ma découverte des dernières semaines. Le trio s’appelle The Staves.

Peut-être suis-je moi-même dans un état d’esprit introspectif, mais ajouter The Staves à une sélection dans laquelle il y avait Bon Iver, l’album Parachutes de Coldplay, un peu de Daniel Bélanger, d’Ariane Moffatt et de Sting, fut vraiment une bonne affaire. Tous les vendredis ne peuvent pas être sous l’emprise du disco…

Y’aura tout de même du Chardonnay ;)


jeudi 22 novembre 2012

Flûte de flûte


J’aime bien quand un instrument de musique non traditionnel se pointe dans les musiques rock. Quand on se force à sortir de l’éternelle guitare, mais aussi  du drum, de la basse et du clavier (piano). Quand un instrument à vent (autre que l’harmonica) nous pousse quelques notes, ou quand un violon (électrique ou non) accompagne la mélodie, j’ai l’impression que les musiciens sont vraiment en amour avec la musique.

La musique progressive a ce côté intéressant. On ajoute du lyrisme à une simple ballade. Et quand, au fil de l’évolution de la chanson,  les instruments s’ajoutent les uns aux autres pour cracher une puissante orchestration d’une lourdeur mais aussi d’une profondeur telle, nous sommes tout simplement transportés ailleurs.

Ce que j’essaie de vous dire, c’est que j’ai redécouvert Jethro Tull (et sa flûte traversière) hier.


mercredi 21 novembre 2012

Traduction


« Avez-vous déjà désiré une chose au point que celle-ci envahisse votre corps et votre esprit à longueur de jour et de nuit jusqu’au moment où vous l’obteniez enfin pour réalisiez finalement que ce n’est pas vraiment ce que vous souhaitiez.  Aussitôt, votre même petit esprit maladif se rattache à quelque chose (ou quelqu’un) de nouveau, et la foutue histoire recommence encore.

Pour ma part, même si je comprends bien les symptômes, je ne peux trouver la cause. Dieu serait-il à ce point cruel pour nous donner des émotions que jamais nous ne pourrons combler.

Aujourd’hui, tous mes sens sont tournés vers toi, et un jour tu seras avec moi. Mais quand tu mettras finalement tes bras autour de mon coup, je regarderai par-dessus ton épaule pour trouver quelque chose de nouveau.

Parce que je n’ai jamais trouvé la paix sur les seins d’une femme, jamais trouvé la paix dans les religions du monde, jamais trouvé la paix au fond d’un verre. Quelques fois je crois que plus je demande et moins je reçois. Je crois alors que la seule libération est celle qui nous libère des émotions du cœur, et que le seul vrai bonheur se trouve dans cette voie. »


mardi 20 novembre 2012

Trouvons l’omission…


Sur mon iPod j’y ai mis :

Du disco. Oui, du Barry Manilow (Copacabana). Du Bill Conti (Gonna Fly Now du film Rocky… kitch mais actif) À propos du kitch, j’ai aussi du Country mais du Johnny Cash. Tant qu’à ça, pourquoi pas Dassin (son « Tagada, tagada » qu’il consacra aux Dalton)

Puis, n’oublions pas tout l’attirail Hard Rock. Du bon Black Sabbath (Paranoid), du Nirvana (trois chansons, dont Lithium), du Kid Rock (aussi trois chansons: Bawitdaba, Cowboy plus Only God Knows Why).

Ajoutons aussi du Jazz à ma playlist. Pourquoi pas du Diana Krall d’abord, du Gonzalo Rubalcaba pour la fin.

D’accord, d’accord, un ajout pour finir, du Strauss, du Chopin du Mozart (Alla Turca).

Voilà !!! 




lundi 19 novembre 2012

Lincoln contre les Redneck


Le 16e président des États-Unis, Abraham Lincoln, semble être en vedette dans quelques films ces temps-ci. Le nouveau Spielberg certes, mais il ne faut pas oublier Lincoln : Chasseur de vampires et le non moins étrange Lincoln contre les Zombies.

Je vous parle de ce président républicain parce qu’il y a 149 ans aujourd’hui, ce dernier s’adressait au peuple américain sur le champ de bataille de Gettysburg. Ce discours porte le nom de L’adresse de Gettysburg. L’été d’avant, ce sont 51 000 américains du nord et du sud qui avaient trouvé la morts sur ce champ de bataille dans le cadre de ce triste épisode de la Guerre civile (ou de sécession). L’esclavagisme, mais aussi une vision divergente du model économico-politique étaient au cœur de cette guerre. Pour en savoir plus, j’ai mis des hyperliens sur mon texte. J’en ai même mis un sur le film de Spielberg…


dimanche 18 novembre 2012

Bonne fête Pa!!


C’est la fête de mon père aujourd’hui ! Bonne fête Pa!! Ce syndicaliste de toutes les luttes est assez connu pour son franc parlé.  En résumé, si vous êtes un trou du c… il vous traitera de trou du c… et il prendra un porte-voix pour que vous l’entendiez bien, et ce, même si sa voix se porte très bien toute seule.

Au-delà de sa rage contre les injustices, mon père nous a transmis le sens du courage, des responsabilités et de l’engagement. Le courage contre l’adversité, nos responsabilités face à la collectivité et un engagement sans faille dans notre travail.

Ainsi, quand tout le monde se sauve d’une situation dangereuse, devinez qui coure dans le sens contraire ? Mon frère le policier. Quand il semble que tout est foutu avec des jeunes aux prises avec des troubles de comportement, devinez qui entre dans la classe ? Ma sœur, l’enseignante en adaptation scolaire. Quand, à travers le cynisme et le mépris des politiciens, de moins en moins de gens se soucis du bien commun, qui s’implique en politique ? Ça, c’est moi… Ça fait un beau trio.

Pour sa fête, je vais lui offrir sa chanson préférée. Comme un million de gens, de Claude Dubois. C'est pas que je le reconnais dans cette chanson. Je reconnais cependant ceux pour qui il s'est tant impliqué.