Quand j’étais ado, je connaissais par cœur toutes les
répliques d’Elvis Gratton
et de Slap Shot (la
version traduite en Québécois bien sûr). Je passais des soirées entières à
écouter ces deux œuvres cultes, avec, comme musique de fond, un peu de Plume Latraverse. Une
adolescence assez typique quand on y pense.
Je comprends que Slap Shot a fait des petits et qu’un autre
film sur le folklore des combats et de la violence au hockey sera dans nos
salles en cette fin de semaine des Oscars.
Il s’agit du film Goon :
Dur à cuire. Ne me cherchez pas, je n’y serai pas.
Ne vous méprenez pas, je suis un amateur de hockey. Je me lève même de mon fauteuil quand surgit un
combat, mais je signerais n’importe quelle pétition demandant la fin des
bagarres dans ce sport que j’aime tant.
Pour ce qui est de la musique, ce film doit inévitablement
faire penser à Jonathan Roy.
Ce dernier étant certainement plus connu pour ses coups que ses hits.
Pour ma part, la chanson de Jonathan Painchaud, Le
goon, m’est tout de suite venu en tête. Joe y chante justement l’histoire
d’un bagarreur du semi-pro.
C’est seulement mon opinion, pas besoin de me lancer un trousseau de clés, une chaîne
de bécycle ou même un wrench…
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