J’aime bien quand un instrument de musique non traditionnel
se pointe dans les musiques rock. Quand on se force à sortir de l’éternelle
guitare, mais aussi du drum, de la basse
et du clavier (piano). Quand un instrument à vent (autre que l’harmonica) nous
pousse quelques notes, ou quand un violon (électrique ou non) accompagne la
mélodie, j’ai l’impression que les musiciens sont vraiment en amour avec la
musique.
La musique progressive a ce côté intéressant. On ajoute du
lyrisme à une simple ballade. Et quand, au fil de l’évolution de la
chanson, les instruments s’ajoutent les
uns aux autres pour cracher une puissante orchestration d’une lourdeur mais
aussi d’une profondeur telle, nous sommes tout simplement transportés ailleurs.
Ce que j’essaie de vous dire, c’est que j’ai redécouvert
Jethro Tull (et sa flûte traversière) hier.
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